Chicago - Cell Block Tango





Synopsis

À Chicago, dans les années 1920, les meurtrières Roxie Hart (qui a tué son amant) et Velma Kelly (qui a tué son mari et sa sœur) sont prêtes à tout, pour éviter la peine capitale et... être célèbre. Aidées par un célèbre et brillant avocat, Billy Flinn, les deux meurtrières vont enchaîner coup bas sur coup bas pour parvenir à leurs fins. Elles découvriront qu'à Chicago, même la popularité des meurtres est passagère...


Chicago est un film américain musical de Rob Marshall sorti en 2002 par Miramax Films (une filiale de Disney).
L'intrigue est basée sur la pièce de théâtre homonyme de Maurine Dallas Watkins créée en 1926, elle-même inspirée d'un fait divers survenu en 1924 à Chicago.

L’amatrice de comédie musicale, que je suis, a adoré ce film drôle et bien joué.
Que ce soit Catherine Zeta-Jones, Renée Zellweger, Richard Gere ou Queen Latifah, tous nous offrent une performance formidable.

Mon personnage préféré est sans aucun doute celui campé par Catherine Zeta-Jones : elle joue ici une danseuse de cabaret égocentrique, arrogante, insolente, voire même irritante. C'est exactement le personnage de méchante qu'on adore détester.
A noter que cette passionnée de danse et de chant a tenu le rôle principal de 42ème Rue sur la scène londonienne à l'âge de quinze ans.
Le réalisateur voulait qu’elle conserve ses longs cheveux, mais elle a insisté pour une coupe à la garçonne, arguant qu'elle voulait avoir le visage dégagé afin que les spectateurs ne doutent jamais que ce soit bien elle dans chaque numéro de danse.

Richard Gere, qui tient le rôle masculin principal, avait également une expérience du musical pour avoir joué à Londres en 1973 dans Grease et au cinéma dans Cotton club de Francis Ford Coppola en 1984.

Ma séquence préférée, Cell Block Tango, a nécessité 50 changements de lumières. Dans cette scène, plusieurs des compagnes de cellule de Roxy Hart, incarnée par Renée Zellweger, expliquent comment elles se sont retrouvées en prison.


Citations :

Certains hommes ne supportent pas l’arsenic !

Nous nous sommes séparés pour des raisons de divergence artistique. C’est un homme qui se voyait vivant, et moi je le voyais MORT !



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