Je ne crois pas vous avoir déjà parler des Editions Cogito. Réparons vite cette erreur : 
Les éditions COGITO ergo sum sont nées en avril 2011 sur l’idée originale de Frédéric SEAUX, enseignant, correspondant de presse et animateur radio. Auteur lui-même, Frédéric SEAUX a ainsi voulu permettre à des auteurs talentueux, sans éditeur, d’être enfin édités.
Les auteurs n’apportent que leur talent. Les éditions COGITO se chargent du financement de l’impression, de la diffusion et de la communication et elles versent 10 % de droits brut rémunérés aux auteurs. Elle est aidée en cela par l'association LES COMPAGNONS DE COGITO ,chargée de la promotion des auteurs et de leurs ouvrages.
Les auteurs, eux, s’engagent à multiplier les salons du livre et à être présents dans un maximum de manifestations autour du livre. La diffusion se fait par les canaux traditionnels des médiathèques et des librairies (diffusion assurée par Arts, diffusion, Loisirs, 20 rue de Rouen à Elbeuf), mais aussi par internet, à travers les réseaux sociaux, les courriels, les blogs, les sites internet et la vente en ligne (Amazon).
Les publications des éditions COGITO peuvent être commandées sur l'ensemble du territoire français (et davantage grâce à internet) mais la présence physique des ouvrages est essentiellement régionale (Haute et Basse-Normandie), faute de moyens suffisants pour distribuer les ouvrages dans toutes les
librairies métropolitaines. Par conséquent, les éditions COGITO publient en priorité des auteurs proposant des écrits en lien avec la Normandie.
Mais pas que...
Les         éditions               COGITO sont       engagées            dans      le            combat pour                l’égalité               des        sexes.   C’est     la            raison   pour      laquelle               ce           roman, comme toutes                les          publications       à             venir,    s’engage             à             défendre la règle grammaticale de proximité.                 Cette    règle,    appliquée           couramment     jusqu’au              16e        siècle,   stipule  que        l’adjectif et le verbe s’accordent en genre avec le nom le plus près. 
Elle         a             été         renversée          par         le                grammairien      Claude  Favre    de          Vaugelas             en          1647      lorsqu’il               a             avancé que                « le genre masculin est le genre le plus noble ».              Cette    déclaration         a             été         reprise et                explicitée            en          1767      par         un          autre     grammairien,    Nicolas Beauzée              :              « Le genre masculin est réputé plus noble que le féminin, à cause de la supériorité du mâle sur la femelle ». 
Il                faudra  attendre             1991      pour      que        la            règle     de          proximité            soit        remise  au                goût      du          jour       dans      un          ouvrage,             Le langage n’est pas neutre,      édité     par                l’Association      suisse   pour      l’orientation      scolaire et           professionnelle.              Depuis, elle        a                été         adoptée              par         la            Fédération         des        professionnelles             en          1998.     Elle                est         également         mentionnée      dans      le            guide    de          rédaction            non        sexiste,                À juste titre,      du          gouvernement de          l’Ontario              et           figurent               ici            et           là,                dans      une        documentation                diversifiée. 
Quand le masculin ne l’emporte plus sur le féminin, alors les hommes et les femmes sont belles !

 
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