Gwendy et la boîte à boutons - Stephen King


4e de couverture

Il y a trois manières d'accéder à Castle View, un point de vue panoramique de la ville de Castle Rock : par la route 117, par la Pleasant Road, ou via Suicide Stairs, les marches du suicide.
Tous les jours de l'été 1974, Gwendy Peterson, 12 ans, monte ces marches qui sont maintenues par de solides (mais rouillées par le temps) verrous qui zigzaguent jusqu'en haut de la falaise.
Au sommet de cette escalade, Gwendy rattrape son souffle et écoute les bruits des enfants du terrain de jeu. D'un peu plus loin peut être entendu le raclement d'une batte de baseball en aluminium puisque les jeunes de l'équipe de Grande Ligue s'entrainent pour le match caritatif du 4 septembre.
Un jour, un étranger dit à Gwendy : 'Hé, petite fille. Viens ici un petit peu. Il faut que nous palabrions, toi et moi'.
Sur un banc à l'ombre, se tient un homme dans un jean sombre, un manteau noir comme celui d'un costume, et une chemise blanche déboutonnée en haut. Sur sa tête se trouve un petit chapeau noir.
Le temps viendra où Gwendy fera des cauchemars à propos de ce chapeau...


Avis 


Et si l'on vous donnait le pouvoir de changer les choses juste en poussant quelques boutons ? 

Voici tout le sujet de ce petit roman ( ou plutôt la grosse nouvelle) que nous propose Stephen King. 

On y suit le destin de Gwendy, une jeune fille de 12 ans mal dans sa peau à qui un homme mystérieux va offrir une boîte tout aussi mystérieuse. 

Il va lui falloir faire des choix. Ces choix auront une influence plus ou moins importante sur son entourage. 

C'est une lecture rapide, fluide. Dans le pur style de King sans le côté horrifique ceci dit ( eh oui King ne fait pas que de l'horreur, qu'on se le dise ;-) ). 

Si j'ai beaucoup aimé ma lecture, je dois dire que le format ( 160 pages) m'a un peu laissée sur ma faim. Je préfère quand Stephen King prend le temps de poser ses personnages dans leur environnement... 
Il prend tout de même le temps de décrire l'univers dans lequel évolue Gwendy et on découvre la société américaine des 70's à travers ses yeux. 

Une bonne lecture mais trop rapide pour moi... 



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire