4e de couverture :
À quelques kilomètres d'Oslo, l'hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l'inspectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...
Avis :
Nicolas Beuglet signe un thriller nerveux et addictif. Je l'ai lu en seulement 2 jours...
Il nous promène de la Norvège aux États-Unis, en passant par la France et l'île méconnue de l'Ascension, à la suite de Sarah et de Christopher.
Le passé des personnages est distillé tout au long du roman. Il y a des choses qui l'on n'apprendra que dans les dernières pages, notamment les raisons de l'attitude si froide de Sarah.
Il y a des rebondissements à chaque fois que l'histoire pourrait commencer à être plus "classique". Cela fait qu'on ne s'ennuie jamais.
Et puis comme les personnages principaux : on veut savoir en quoi consistaient les fameuses expériences subies par le patient 488 !
J'ai adoré et je resterai attentive aux prochaines publications de cet auteur.
ce bouquin m 'a fait perdre la tête!!!!
RépondreSupprimer